Rester confiné en ville ? Impensable pour Jo, son frère et sa mère. Ils s'en vont à La Gueule-du-Loup, dans la maison des grands-parents que Jo n'a pas connus, inoccupée depuis leur décès, deux ans auparavant. Et il n'y a pas que des inconvénients : Jo peut faire du sport, profiter de la forêt toute proche, et jeter sur un cahier ses essais de poèmes. Mais bientôt, des phénomènes étranges se produisent. Des bruits inexpliqués. Une peluche qui dishow moresparaît. Un animal ensanglanté dans la maison. Qu'est-ce qui hante La Gueule-du-Loup ? « Le loup va venir. Le loup vient toujours. » Tel un métronome, cette menace se répète dans le roman. Au printemps 2020, la narratrice, 16 ans, part se confiner avec sa mère et son petit-frère, à La Gueule-du-Loup, dans la maison de ses grands-parents maternels disparus. Mais si le virus court à l'extérieur, une atmosphère oppressante émane de cette maison et des événements terrifiants s'y produisent... Empruntant les codes du film d'horreur comshow moreme du traitement psychanalytique, Éric Pessan dénonce par la métaphore le crime laissé sous silence.